« J’écris pour ne pas perdre ma raison », se plaisait à dire l’écrivain américain Charles Bukowski (...) Si la poésie est et a toujours été le miroir qui nous permet de plonger notre regard dans la réalité qui nous entoure, pour moi, l’écriture est la panacée qui nous permet de guérir la folie du monde (...) la poésie possède un esprit mais elle a aussi une texture, elle a un corps. Le rôle du poète aujourd’hui est notamment de passer par l’autopsie de ce corps, de l’envisager, de l’étudier et de le détruire pour pouvoir ensuite le créer à nouveau...
Tsvetelina Manova, texte publié dans le magazine bulgare"Literatouren vestnik" (Sofia, 2010)
Membre de l'association franco-bulgare "Mission Bulgarie" (Paris), ainsi que du groupe de poètes-artistes "Les poètes du concours Vesselin Hanchev" (Stara Zagora, Bulgarie), elle est aussi artiste partenaire de la fondation culturelle "Sidea" (Varna, Bulgarie).
Depuis juin 2013, elle est secrétaire de l'Association artistique "Des mots, des livres et vous".
Contact:
lina.manova@gmail.com
desmotsdeslivresetvous@gmail.com
Photos:
Participation au "World Poetry Movement" (Sofia, 2011) |
Soirée poétique et culinaire (Paris 12E, 2014) |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire